19 juin 2012

Chroniques pour le recueil Troubles Songes

Parce que c'est l'avis des lecteurs qui détermine l'intérêt d'un ouvrage, voici les chroniques relatives au recueil de nouvelles Troubles Songes, paru chez Rebelle éditions.

Quelques adresses où se procurer le livre :

12 juin 2012

Ecriture et BO de films


Petit écart de sujet, on ne va parler cette fois-ci ni de livres, ni d'écritures… Quoi que quand même, si un peu ^^
Que font les personnes qui passent quotidiennement un nombre d'heures irraisonnables devant leur traitement de texte ? Un certain nombre vous dira que les flirts avec le clavier s'accompagnent de consommations diverses : boissons, friandises, cigarettes… Mais – le sujet où je voulais en venir – les artisans littéraires écoutent aussi de la musique. Peut-être pas tous, mais beaucoup. Une réponse qui entraîne une autre question : quel genre de musique peut écouter un noircisseur de pages ? Probablement que tout dépend des goûts de l'auteur (La perspective que tous les gens de plumes puissent écouter la même chose serait assez décevante sur un plan romantique, pour ne pas dire flippante.)
Pour ma part, je suis plutôt adepte des bandes originales de films. Pas en permanence, écouter la musique n'est pas un réflexe systématique à chaque ouverture de fichier. Toutefois, lors de l'écriture de scènes clés bien précises, une mise en ambiance est la bienvenue pour donner du cœur à l'inspiration (Autant se mettre dans les meilleures dispositions possible lorsque l'exercice narratif devient délicat.)
Les musiques de films m'ayant marqué foisonnent. Nombre de mes textes sont en partie redevables à des compositeurs tels que John William, Danny Elfmann, Hans Zimmer ou Ennio Morricone. Mais cet aperçu est  si réducteur, tant la liste des œuvres et compositeurs qui m'ont touché par leurs atmosphères sonores pourrait très vite s'allonger.
La musique est donc une compagne d'appoint pour les auteurs. Les mélodies auxquelles je suis sensible n'ont bien souvent rien d'extraordinaire aux premiers abords. Le risque serait que des oreilles trop pressées passent à côté des trésors de lyrisme et d'épique que certaines recèlent dans leurs partitions.
Et parce qu'il est davantage de circonstance d'écouter la musique plutôt que de la réduire à un laïus soporifique (si, si ^^), rien ne vaut un petit exemple. Le morceau choisi est extrait de la BO du film Highlander, sorti en salle en 1986. Un album regorgeant de pépites, soit dit au passage… La musique qui suit s'écoute de préférence jusqu'à la fin, histoire d'apprécier chaque note à sa juste valeur ;)